Il y a un an sortait Diablo IV, après plusieurs saisons et différentes mise à jour, nous avons le plaisir de découvrir son premier DLC : Vessel of Hatred. Celui-ci marque une nouvelle étape dans le jeu pour proposer du nouveau contenu, une nouvelle classe et surtout nous rappeler des souvenirs si on a aimé les anciens opus de la série Diablo.
Vessel of Hatred : Campagne et ambiance immersive
L’histoire de Vessel of Hatred se déroule après les événements du jeu principal. Neyrelle, l’une des héroïnes, part à la recherche de la pierre d’âme de Méphisto, celui-ci nous rappelles des bons souvenirs sur Diablo 2. Il est enfermé dans la pierre d’âme et cherche à s’en échapper. Cette quête se déroule dans un climat de violence exacerbé par l’influence de Méphisto, ce qui pour effet de rendre fou les habitants de Sanctuaire. Dans ce DLC, nous explorons les jungles de Nahantu, où nous sommes confrontés à des créatures corrompues.
L’histoire est bien évidemment plus courte que celle du jeu principal mais elle n’est pas si courte que cela non plus. Ce qui est mine de rien un aspect assez agréable, car nous avons déjà connu des DLC un peu trop court sur d’autres jeux. On ne rajoute pas forcément énormément de personnage dans Vessel of Hatred, ce qui permet de découvrir encore plus ceux que nous connaissions déjà. Et renforce l’immersion dans l’univers de Diablo IV. Par contre, la fin de ce DLC nous laisse à penser que nous pourrions en avoir d’autres par la suite, en tout cas les développeurs laisse la porte ouverte avec cette fin.
La classe de Sacresprit
Le Sacresprit, la nouvelle classe, constitue l’atout majeur de cette extension. Inspiré des arts martiaux, il propose un gameplay fluide et dynamique, qui n’est pas sans nous rappeler celui du moine sur Diablo 3 (au niveau du gameplay) même si les deux classes sont assez éloignées en terme de compétence. Avec quatre animaux-totem (ou spécialisations), cette classe favorise les interactions entre spécialisations. À partir du niveau 15, les joueurs peuvent combiner les esprits (mille-pattes, gorille, aigle, jaguar) pour bénéficier de bonus variés, enrichissant ainsi le gameplay.
Personnalisation et synergies
Vessel of Hatred introduit également une personnalisation supplémentaire. Les mercenaires, à débloquer durant la campagne via différentes quêtes, ajoutent une nouvelle dimension au combat. Chaque mercenaire possède bien entendu ses propres compétences et peut progresser en montant de niveau pour débloquer des compétences.
Nouvelles activités et défis
Les nouveaux ajouts pour les classes déjà existantes ne sont pas folles mais cela pourrait quand même vous faire relancer le jeu. En effet, nous avons deux nouvelles activités intéressantes : les Bas-fonds de Kurast, une quête chronométrée offrant des récompenses rapides et engageantes, et la citadelle sombre, dédiée au multijoueur, qui promet des défis à haut niveau. La recherche de groupes, introduite en parallèle, facilite l’accès à ces activités, répondant ainsi aux besoins des joueurs cherchant à coopérer.
Conclusion
En somme, Vessel of Hatred réussit à redonner via à l’expérience de Diablo IV tout en préparant le terrain un prochain DLC. L’histoire est aussi immersive que le jeu principal et l’ajout de la nouvelle classe ajoute véritablement un plus. Ce DLC satisfera les joueurs assidus mais également les nouveaux joueurs.
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