Terminator : Resistance , le jeu vidéo développé par Teyon et édité par Reef Entertainment, disponible à partir du 22 novembre sur vos consoles, à l’occasion de la sortie du nouveau film Terminator: Dark Fate.
Nous allons découvrir dans ce test, ce que vaut réellement ce jeu de shoot à la première personne.
TEST – Terminator Resistance
Pour commencer, une petite présentation du jeu avec le trailer pour vous mettre dans l’ambiance.
Pour nous situer dans le contexte, nous sommes à Los Angeles en 2028, 31 ans après le jour où l’intelligence artificielle nommée Skynet, s’est rebellée contre ses créateurs et l’humanité. Cette technologie a été conçue en août 1997 afin de les protéger, mais s’est vu prendre une conscience qui nous conduira jusqu’au jour du jugement, qui fait référence aux deux premiers chapitres de la série Terminator.
Pour commencer, nous incarnons le personnage de Jacob Rivers, membre de la résistance pacifique, qui va échapper de justesse à une attaque de robots Skynet, grâce à un étranger à la radio qui le guidera vers Jennifer et son petit frère Patrick, membres d’un groupe de résistants, qui l’aideront à s’échapper de cette attaque. Vous pourrez donc ensuite entamer votre route pour rejoindre la Résistance.
Tout au long de l’aventure, il vous faudra explorer les différents endroits que vous allez rencontrer, afin de trouver diverses ressources échangeables ainsi que des munitions, qui sont bien visibles et indiqués je trouve, comparé à d’autres jeux dans lesquels il faut vraiment chercher. N’oublions pas qu’il s’agit avant tout d’un jeu de shoot.
Il vous faudra utiliser des établis pour la confection de divers objets comme des crochets de serrures, armes, munitions, kits de soins.
En parlant de crocheter des serrures, cette compétence sera à améliorer comme d’autres tout au long votre périple. Je vous rassure l’arbre de compétence n’est pas aussi grand comme sur Destiny ou autre jeu du genre, mais aussi complet.
En ce qui concerne les missions, elles se divisent entre les quêtes principales et les secondaires, que je vous conseille vivement de toutes les faire, si vous ne voulez pas finir le jeu assez rapidement. Vous pouvez activer soit le mode bourrin et tirer sur tout ce qui bouge (veillez quand même à avoir fabriqué assez de munitions) ou soit le mode infiltration et vous faire discret.
Après avoir parlé globalement du jeu, voyons les points forts que j’ai pu lui trouver.
D’abord, j’ai testé le jeu sur vidéo projecteur branché sur un home cinéma, pour avoir une expérience plus grande du jeu et avoir la sensation d’être dans un film. La bande-son et bruitage sont très représentatifs du film et pour le coup c’est kiffant.
En ce qui concerne le gameplay , il est plaisant et facile à prendre en main, surtout qu’il n’y a pas trop d’actions délicates à effectuer ou d’endroits difficiles d’accès. Nous avons la possibilité d’interagir sur de nombreuses discussions.
Les décors ne se répètent pas et on pas l’impression de toujours voir le même paysage. Les combats sont multiples et il y aura différentes techniques à utiliser.
Au fil du jeu, vous pourrez admirer les paysages assez dévastateurs et post-apocalyptiques tout en mitraillant l’ennemi.
Il vous ai proposé quatre niveaux de difficulté, mais même en prenant le plus haut vous allez remarquer que les machines ne sont vraiment pas très coriaces.
À bien noter qu’il est vraiment préférable de faire toutes les quêtes même les secondaires, car il vous faudra environ 10 heures pour finir le jeu dans son intégralité.
Conclusion
En conclusion, Terminator Resistance est un jeu de shoot facile à prendre en main, plaisant au début, mais qui devient ennuyeux par la suite, par le manque de dureté de l’intelligence des robots, malgré une aide à la visée très bien conçue.
On ressent très bien que le producteur a voulu être fidèle au film, mais tellement qu’il a oublié de donner plus de longévité à l’histoire.
Les fans de la saga pourront reconnaître des endroits iconiques des deux premiers films et de nombreuses références.
Niveau graphisme, on ne peut pas dire que c’est le jeu l’année, mais juste comparé aux autres opus il y a du mieux surtout dans la diversité.